Locke, le Juste

Je commencais a sentir mon esprit reprendre place dans mon corps...comme un reveille de mille ans. Ensuite, le froid mordant a mes poignets et les brulures a mon torse. Lorsque j'ouvrai les yeux, le plafond s'affichait a moi comme un violent coup d'eclair dans les yeux. L'éclairage etait abondant et la blancheur des murs me brulait la retine. Lorsque je tentai de mettre mes mains sur mon visage et de me frotter histoire de me reveiller. Les mains me restent figé au niveau des pectoreau. Au diable la lumiere, une dose de panique s'immerge dans ma moele epiniare, de la nuque au bassin. J'ouvre les yeux d'un trait et appercoit mes poignet fixé dans des bracelets de metal chirurigcal, ceux ci sont bouloner apres un corsset torsal qui fait le tour de ma poitrine. On veut m'empecher de bouger les mains. Soudain, une presence me frappe. Quelqun'un se tient derriere moi. Alors que je me retourne, un individu m'agrippe par la tete et me clou dos au lit. Un autre silouhette flouée par mes iris dilatée amene un seringue a a peine 5 millimetre de mon oeil. Une troisieme silouhette, beaucoup plus sombrement habiller commence a m'interloquer...



-As-tu l'intention de résister, commence la voix de l'homme.

-...suige vlaiment en...euh?

C'est alors que Locke se rendi compte que sa langue fourchait attrocement.

**Il m'ont drogué?**

-Vous cloyez vlaiment que le chui en pozition de lésishté?

-C'est bon, il deconne pas, commente l'individus qui cloitre Locke au lit.

Locke sent qu'il n'est pas seul dans sa tête, soudainement, il sent l'envie atroce de vomir et une migraine insurmontable.

-ARGH!!!!, hurle-t-il. kahhhh...KYA....A!!

La douleur s'arrete d'un coup sec.

-C'est se qui t'attent si tu tente de nous faire faux bon, comment la voix avec la seringue.

Les deux asceillants relachent le jeune homme en l'assoyant dans le lit. L'homme au complet sombre s'approche.

-Nous pouvons lire tout vos fluide neurale a partir de la puce que nous avons pris soin d'implanter dans votre centre neurale. Alors--
oui en effet...même cette haine qui cours votre chime a cette instant même, haha. Seriez-vous outrez par nos methodes?

-Alors c'était vous, continu Locke.

-Pardonnez moi?

-Cette sensation...dans mon esprit. Ce n'est pas la premiere fois que je la recent. C'est similaire...mais a la fois different...ca doit etre parce que c'est émit directement dans mon cerveau...Il y a quelque mois...j'ai commencer a sentir les meme migraine. Je savais que quelqu'un essayait d'entrer dans ma tête, mais je n'ai pas la capicté de savoir de qui il s'agissait. Mainteant je sais....

-Bonne analyse, apres si peu de temps sorti du serum de Benedict.

-Pourquoi les..."menottes" si vous pensez si bien me controlée?

-Et bien, il nous a été fourni comme infos que vous étier télékinésiste et--

-On vos a bourré.

Les menottes commencerent a émettre un chant d'agonie, vu ainsi. Le metal se tordi et se sectiona de plusieurs endroits. Les morceaux se tomberent sur Locke...il saisi un morceau aussi vite qu'un maitre d'arme et au moment de sauter sur l'homme en vetement sombre, il modela une lame mince et affiler avec le morceau saisi. L'homme recula vivement, s'adossant au mur. Les deux hommes qui se trouvait chaque coter du "prisonnier" se lancerent en meme temps sur lui. Le temps qu'il ait realiser qu'ils étaient clouer au mur par des morceau de metal autour de leur cou, Locke modela des "collier" ajuster a ses derniers, violement projeter de chaque coter de la piece, sans jamais quitter l'homme sombre des yeux. Ce dernier commenca a se lamenter.-Com...comment cela ce peut-il...je ne peut pas atteindre son esprit avec ma puce...bande d'incompet--

-Ca ne serre a rien...j'ai une certaine...affinité avec le metal en particulier. La puce que vous avez mit dans ma tête, faite d'acier inoxidable...vous auriez du la concevoir a base de proteine...de plus, si elle aurait été ainsi, elle aurait pu librement circuler dans mon sang, la rendant intracable.

-Excellent, j'en prend note--

La nouvelle voix qui venait de résonner dans la chambre fit réagir immédiatement les muscle de Locke. Il extansiona son bras dans cette direction. Une parti de sa lame se detacha rapidement en direction de la voix. Alors quil regardait sa nouvelle cible, Locke vit que cette derniere etait une femme en sarau blanc qui n'émit qu'un simple soupir d'exaperance envers le projectile qui s'immobilisa dans le vide...il tournoya longuement et vint se planter directement dans le bras de Locke qui tenait l'homme au veston sombre, le traversant. L'homme pensa sa chance de sortir de l'étaux étant venu...alors qu'il blemit lorsqu'il vit le bras de Locke, déchiqueter, se refermer et de resoudre, sans aucune marque apparante. La poigne se fesant plus forte sa gorge, l'homme tresalli et tomba mou, au sol. La femme au sarau s'approcha avec un pad de note et un stylo.

-Ta théorie d'une puce fait a base de Protéine est extremement interessante. Je n'en attendait pas moins d'un eleve de classe A...ou plutot, d'un agent du Personel.

-Élaborer agent...

-J'ai le plaisir de vous acceuillir dans notre grande Famille. Bienvenu a Tnatum agent Locke. Maintenant que je sait que vous avez supprimer votre puce neurale, je n'ai plus de controle sur vous...mais, personne n'a jamais quitter se complexe, alors. Soit vous vous atteler a votre nouveau poste, gracieusement offert par notre haute dirigeante, ou bien, vous crevez... les alternatives son radicale je sais, mais--

-Je vais le faire.

-Comment dites-vous?

-Je vais le faire...de toute facon, j'suis pas du genre a faire le frimeur style Magneto qui s'barre de prison...j'vais faire votre sale boulot. Mais a une seule condition. Je veut avoir acces au archives et au bibliotheque....j'me fou du niveau d'autorisation que ca prend, je le veut.

La femme reflechit un instant, avec un air a la fois seduit et meprisant.

-Vous negociez...alors que c'est nous qui vous imposant des restrictions...
*soupir* Bon, j'en parle a mes superieurs et ont verra se qu'on peut faire. Bienvenue a Tnatum Monsieur Lockheart. Voici votre carte d'acces.

Elle lui lanca une carte magnétique. Locke la saisi et la mit dans la poche arriere de son pantalon d'hopitale. L'homme sombre se reveilla. Locke s'accroupi et fit allonger la lame qui restait dans sa main. Lentement, elle s'approcha de l'oeil de l'homme au complet noir. Ce dernier tremblait, fixant la pointe, bouche beante de peur, le visage casser de terreur.

-Les humains...tous pareil. Alors...comment on se sent?...si tu t'avise a nouveau...juste une fois, de jouer dans ma tête et de faire le fier a bras...tu ne verra plus jamais ta sale gueule dans aucun mirroir de s't'endroit perdu. Compris?

L'homme resta petrifier, sans respirer...il fixait la pointe, immobile devant son oeil.

Locke se releva, pris une chemise et se dirgeat a l'exterieur. Lorsqu'il sorti de la piece, il s'immoblisa, dos a la piece. Il leva le poing et le referma tranquillement. Le metal autour du cou des autres homme se mit a chauffé et rougir. Locke frictionnais les molecule qui composait le metal et le fit s'auto-ingitioné. Il relacha sa prise et les collier tomberent au sol, les homme qui pouvait enfin respirer a un debit normal se mirent a hurler de douleur. Ils possedaient a présent la marque autour du cou, une brulure qui bariollait la gorge. Locke sorti, sans sourir et fesant claquer la porte metlique derriere lui, sans même y toucher.


**Voyons ce que ce complexe peut m'offrir...**