Un nouveau scientifique débarque.

Une nouvelle personne fut dans la cour d’avant d’un grand établissement. Celui-ci avait une valise en main et un sac à dos du style pour les portable. Jamais il partait sans avoir ce précieux portable. Toutes les données des expériences faites par son père fut dedans la machine. Au sinon dans sa valise, c’était des vêtements ou objets personnels, pas grand choses en tout cas. Que le strict nécessaire. Rien d’autre que le strict nécessaire... Aucun objet pour le rendre heureux. Non avec lui, pas de plaisir permis. Enfin le nouveau scientifique, Lucas, se rendit à la porte. Il ouvrit doucement entendant un grincement de porte. Il rentra tranquillement dans la pièce... Blanche ? Oui, c’était le seul mot pour la définir. Blanche. Rien d’autre. Aucunes autres couleurs pour mettre de la vie, de l’ambiance. C’était un établissement pour opérer les mutants, pas une salle de quille. Le blanc fait l’affaire grandement, il fallait les rendre malheureux ses choses... Savoir qu’elles seront seulement que des rats bon à ignorer et à jeter dans la poubelle par après. C’était sa façon de penser et elle restera toujours la même. Enfin, il s’avança dans la pièce et observa celle-ci. Table et chaises. Rien d’autre. Pas le moindre petit cadre, table de chevet. Ah oui bien sûr, il allait oublier les néons et leurs bruits qui faisaient aux oreilles à la longue. Enfin, il tira sur une chaise. Il grimaça de dégoût... Elle était crasseuse! Mais c’était dégueulasse! Ils ne lavaient presque jamais ? Il regarda la chaise de plus près. Poussière et rien d’autre. Il épousseta la chaise et toussa un peu à cause de la poussière. Franchement! C’était pas très amusant! Enfin, il s’assit sur sa chaise fermant les yeux. Il avait hâte que quelqu’un vienne le voir, pour lui dire que le strict nécessaire et il pourra aller s’embarrer dans sa chambre! Il regarda l’heure, il l’avait régler à cause du décalage horaire. Il était 19:46 et 43 secondes. Il était fatigué. Le voyage a été long et cela l’avait épuisé. Les minutes s’écoulèrent, lorsqu’il entendit des bruits de pas. Il ouvrit les yeux et regarda en face de lui, c’est-à-dire la porte. Puis elle s’ouvrit. ’’C’était le temps’’ se dit-il par la pensée.

Il devait être au alentour de vingt heure, ou presque. Raito arpentait les couloirs de l’établissement, sans la présence de son frère. Ryuuku planant silencieusement derrière lui. Toujours invisible aux yeux des autres, en dehors de L. Il était arrivé au sous-sol sans trop savoir comment. Errant sans bute particulier, juste pour l’envie de marcher un peu tranquillement. Depuis son arrivé, il s’en était pris à quelques mutants et humain du personnel, qu’il avait estimer bien trop mauvais pour vivre. Sans que personne ne sache, qui était le responsable de ses disparition. Petit sourire se dessinant en coin, à la simple pensé de ses souvenir. Lorsqu’il croisa justement un garde, plutôt deux. Devant la porte de la salle d’accueil. Les gardes l’arrêtèrent, il n’opposa aucune résistance, les écoutant. Sait-on jamais. Hum ? Elizabeth, mutante qu’il n’avait par ailleurs jamais vu. N’était toujours pas arrivé pour accueillir le nouveau scientifique ? Il soupira, n’ayant rien a faire. Pourquoi pas ? Il adressa un simple signe au garde. Un peu narquois, et tourna la poignée. Calme, très calme. Contrairement à quelque petit mutant qui aurait sans douce été affolé. Il referma derrière lui, s’avançant un peu. Toisant le nouveau. Qui était toujours assis sur sa chaise.

_Bonsoir.

Ton assez poli. Hypocrisie obligé déjà, et puis non, il était naturellement poli ! Ryuuku, était juste derrière lui. Raito, baissa un instant son regard sur son ombre menaçant qu’il était toujours le seul à voir. Le relevant bien vite sur l’inconnu. S’approchant de quelques pas, se retrouvant assez près de la chaise où il était. Bien que assez loin, pour ne pas être atteint, par exemple, si il tendait le pied. Ou tentait pour X raison de l’attraper. Il aurait encore du faire deux ou trois pas. Raito fourra ses mains dans les poches de sa veste de costume un peu beige. Soupirant.

_Je suppose qu’il est inutile de vous expliquer où vous êtes ?

Lucas était assis sagement sur sa chaise très crasseuses. Il grimaça de dégoût une nouvelle fois, il allait laver son linge sûrement demain. Oui, il était maniaque de la propreté. Il avait de la misère à tolérer une petite poussière. Mais bon, il devra s’y habituer, il ne voulait pas qu’on sache que c’était un fou non plus. Donc il allait se contrôler. Enfin, il joua avec une de ses mèches de cheveux s’ennuyant à mort. Pourquoi avait-il accepté ce boulot aussi ? Ah oui, à cause qu’il avait l’air très intéressant et son père avait travaillé là-dedans aussi. Mais il ne savait pas à quoi Tnatum ressemblait, il s’était fait une image, mais on dirait que cette image-là n’était pas la bonne. Enfin, de toute façon, il aurait peut-être du plaisir aussi. Enfin, la porte s’ouvrit le faisant revenir à la réalité. Il vit la personne, un jeune homme. Il devait avoir proche de ses dix-huit ans? Sûrement. Enfin, il regarda la personne s’avancer. Il la détailla de la tête au pieds, ne manquant aucun détail. Eh bah oui, c’est un scientifique, il devra reconnaître la plus part de ses cobayes, enfin si c‘était un mutant bien sûr, mais il ne faut jamais prendre de chance.. Il pencha la tête au ‘’bonsoir’’ de la personne. Il fit à peine un sourire en coin.

« Bonsoir... » Souffla-t-il simplement.

Lucas le regarda toujours avec un regard neutre sans aucune expression. Car devait-il en montrer une ? Doit-il être heureux ? Il ne le savait pas lui-même. Il croisa ses jambes, son coude était appuyé contre la table et sa joue contre ses phalanges lui donnant un air un peu fatigué mais aussi on dirait qu’il voulait dire à l’autre ‘’ Tu m’ennuis’’. Mais ce n’était pas le cas, il attendait simplement. Puis lorsque le jeune homme parla, il sourit.

« Hmmm, non mais est-ce que c’est vous qui accueillez les gens ? » Demanda-t-il sur un ton neutre, mais poli bien sûr.

Ses yeux plutôt brun bourgogne fixèrent toujours la personne en face de lui, comme s’il était intéresser. Comme s’il savait que c’était un mutant. Mais bon. Lucas laissa tomber mollement son bras et redressa sa tête attendant une réponse de la part de l’autre.